Stage avec le Grand Maître Lee Kwan Young
Ce dimanche, invité par le Mungunghwa Tigers Club de Nanterre, nous avons eu le privilège de participer à un des derniers stages du Grand Maître Lee Kwan Young, avant qu'il ne retourne à Séoul créer une école francophone de taekwondo. En 1968 il a été le premier coréen envoyé par son gouvernement pour faire connaitre cet art martial en France.
Pendant 3h généreuses, Grand Maître Lee s'est entretenu avec nous, a corrigé nos poomsaes et nous a appris plusieurs techniques de Ho shin soul.
Il nous a demandé pourquoi tous les poomsae commencent à gauche. Du coup il nous a prié d'en commencer quelques-uns à droite. Regardez la couleur de sa ceinture (!). Grand Maitre Lee, 9e dan, est une personne pleine de bonne énergie et très très sympathique. Il a beaucoup insisté sur la valeur du taekwondo français et promis, au moins, une médaille d'or aux JOP de Paris. Que nous devions développer notre propre technique sans suivre systématiquement les dernières évolutions coréennes. Il a souvent évoqué les conditions des maîtres qui lui ont enseigné cet art martial dans sa jeunesse. Qu'ils n'avaient pas une bonne réputation, vivant loin de l'espace public, pour pratiquer ce qui sera appelé plus tard le taekwondo !
Le rythme des poomsaes, est pour lui, propre à chacun. Similaire à une mélodie, nous nous devons de trouver la notre. Que les gestes doivent avant tout être ceux d'un combat. Toujours comprendre les déplacements, contres et frappe dans ce sens! Que les coups doivent être fouettés et non percutants. Sinon on abime son corps trop vite.
Connaissant une multitudes de savoir sur l'anatomie humaine et des techniques de combat, il envisage pour les prochaines années enseigner l'art du lancer de couteau !
Il nous a demandé pourquoi tous les poomsae commencent à gauche. Du coup il nous a prié d'en commencer quelques-uns à droite. Regardez la couleur de sa ceinture (!). Grand Maitre Lee, 9e dan, est une personne pleine de bonne énergie et très très sympathique. Il a beaucoup insisté sur la valeur du taekwondo français et promis, au moins, une médaille d'or aux JOP de Paris. Que nous devions développer notre propre technique sans suivre systématiquement les dernières évolutions coréennes. Il a souvent évoqué les conditions des maîtres qui lui ont enseigné cet art martial dans sa jeunesse. Qu'ils n'avaient pas une bonne réputation, vivant loin de l'espace public, pour pratiquer ce qui sera appelé plus tard le taekwondo !
Le rythme des poomsaes, est pour lui, propre à chacun. Similaire à une mélodie, nous nous devons de trouver la notre. Que les gestes doivent avant tout être ceux d'un combat. Toujours comprendre les déplacements, contres et frappe dans ce sens! Que les coups doivent être fouettés et non percutants. Sinon on abime son corps trop vite.
Connaissant une multitudes de savoir sur l'anatomie humaine et des techniques de combat, il envisage pour les prochaines années enseigner l'art du lancer de couteau !
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